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Tout d’abord, Oriza Hirita connaît la recette majeure pour réussir une pièce comme celle-ci : prendre 3-4 français décalés, mais modernes, qui viennent aux funérailles de leur sœur, fille, aimant de tous les côtés ; Et 3-4 vrais japonais pour mettre bien au parfum le spectateur, et votre pièce peut alors jouer sur énormément de choses présente dans chaque culture/ Pour la langue ils parlent chacun avec sa propre langue ce qui fait que les français ne comprennent pas du tout ce qu’ils se disent ce qui est pareil pour les japonais.
Ensuite, l’ambiance est assez familiale. On se serait cru dans un aquarium où vous ne pouvez voir personnes et où tout le monde peut vous voir. Les spectateurs observaient les scènes en faisant partie de la scène, des sentiments,…
De plus, la musique était assez prenante, le soir on entendait des feuilles, des grillons, le vent,… La journée une petite musique assez agréable toujours dans le style japonais. Les lumières étaient au début toujours allumées et petit à petit se sont tamisées, ce qui a permis un certain apaisement sur scène.
Les personnages sont assez décalés, assez sur les nerfs. Il y en à même qui arrivent à se disputer pour telle ou telle chose. Le frère est sur les nerfs tandis que le mari reste plus ou moins calme. Mais c’est ce qui fait de cette pièce l’humour. Car le sujet étant un sujet malheureux qui peut nous arriver devient une plaisance, un discours de personnes tristes tout en s’entendant bien.
En conclusion, cette pièce m’a agréablement surprise même si son sujet principal ne plaisait pas énormément j’ai peu rire en le savourant. La culture chinoise est très prononcée sur ses morts, sa gaieté ne me déplait pas, ni d’ailleurs sa simplicité.
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