
lundi 21 juin 2010
"Le théatre: une aventure à vivre et à revivre! "- L. Sacré

Pourquoi tu bouges ? - M. Crespin

Partir à l'aventure, on peut dire que c'est ce que j'ai fait. J'ai défié, remis en question tout ce que je pensais vrai. Non, la danse contemporaine n'a pas de définition. C'est impossible de définir ce que c'est. C'est en travaillant sur Pina Bausch que j'ai vraiment compris cela. L'important au fond, ce n'est pas comment les gens bougent, tout le monde peut bouger. Mais pourquoi ils bougent, ce qui les fait bouger. C'est ça qui enrichit la danse. Certes, de beaux mouvements c'est agréable.. C'est joli... Mais si l'on ajoute rien a cela, aucune émotion, aucune profondeur, aucune personnalité, aucune intuition...
Est-ce que cela avance à quelque chose de danser au delà de faire joli ? A mes yeux ça n'avance à rien, si la danse a vraiment de l'intérêt, c'est parce que elle permet d'exprimer, de montrer, de représenter des choses que l'on ne peut exposer autrement. La danse et encore plus, celle de Pina Bausch dotée d'un langage hors du commun permet d'illustrer, de représenter l'indicible..
Maurane Crespin
"Une danse de fou !"- N. Nazario

La musique ne ressemblait à rien, d’ailleurs, ce n’était même pas de la musique mais du bruit qui casse les oreilles. Il y avait de la peinture, des pâtes, du gâteau à la gélatine, utilisée d’après moi, sans but, juste pour dire qu’ils introduisaient tout type d’arts.
Je m’attendais, vu les quelques vidéos vues au cours, à ce que le spectacle ne soit pas harmonieux, mais à ce point-là, c’est de l’exagération !
De plus, c’était long ! Je n’ai jamais eu l’impression d’avoir perdu autant mon temps, à voir quelque chose que je n’aimais pas du tout. Oui, c’est une découverte d’un nouvel art pour moi, mais franchement, j’aurais préféré ne pas voir ce spectacle. Il n’y a aucune limite ! Crier, hurler, sauter, se rouler par terre, un au-dessus de l’autre, tout au long du spectacle et ne voir que de l’extravagance, non merci ! Je croyais être parmi des fous, j’étais en sortant de cette représentation choquée et refroidie.
C’était vraiment très très désagréable !
Nathalie. Nazario
« Une caverne d’Ali baba » - M. Dumoulin

Marine Dumoulin
"La danse contemporaine, un cauchemard!"- O. Dumoulin

Mon premier spectacle m’a beaucoup déçue. Avant de me rendre là-bas, nous y avons un peu réfléchi en classe devant quelques vidéos. En arrivant, un mercredi, à 20h00pour la représentation, il n’y avait que des personnes âgées. Je me suis dis : « mon Dieu qu’est-ce que je fais là ! ».
Autant dire que je ne me suis jamais autant ennuyée. Quoi de pire qu’une découverte provocante, choquante et interminable ? Un spectacle qui a marqué ma mémoire et fermé des portes sur l’envie de découvrir la danse contemporaine. Mais, ayant été détesté par la majorité des élèves présents, nous pouvons espérer qu’il s’agissait d’un spectacle nul et que les autres seront plus intéressants.
D’ailleurs, les pièces de théâtre pourraient nous mener vers d’autres genres similaires ou bien nous permettre de trouver LA perle rare qui me conviendrait.
Océane Dumoulin
lundi 7 juin 2010
Réflexion sur le théâtre - " Théâtre = culture + création" - S. Klutz


Culture ou création ?
S'il y avait à choisir — et heureusement il ne faut pas choisir - j'opterais délibérément pour la création.
Tel est ma vision du théâtre un renouveau perpétuel
samedi 5 juin 2010
Réflexion sur la danse contemporaine - "Danses ta vie version danse contemporaine"- S. Klutz

Ainsi, comme j’ai pu le remarquer, les danseurs tentent d'explorer les énergies naturelles et les émotions de leur corps de produire des danses qui sont souvent très personnelle.
Corps en mouvement, gestuelle, déplacement des âmes : l’essence même de la danse contemporaine ???
A méditer…
jeudi 20 mai 2010
"Le diable abandonné" Patrick Corillon - Suivre les mots ! - L. Sacré

Patrick Corillon, plasticien et artiste, propose aux petits et grands de suivre avec bonheur, le premier tableau, « la Meuse obscure », du fruit de son talent intitulé : « Le diable abandonné ». Alors près à retomber en enfance ?
C’est l’histoire du fils d’un marionnettiste qui ne veut pas reprendre le théâtre de son père, car il ne désire pas passé sa vie derrière des décors à parler pour des marionnettes. Mais il ne trouve pas les mots pour le dire et se laisser amadouer par le livre délavé du diable, où tous les mots que l’on écrit sont, si ils restent inscrits, justes et sincères. Il décide donc de partir à la recherche de ce fameux livre délavé et va rencontrer une série de personnage fous mais surtout la belle Élise, son âme sœur…Finalement tous les chemins qu’il emprunte n’aboutiront « nulle part ».
Cette histoire nous permet pendant près d’une heure de s’oublier et de se laisser bercer par les mots et la douce voix de la narratrice, qui raconte avec beaucoup de passion ce que les images ne nous disent pas, avec des mots simples, tel une maman qui borde son enfant le soir en lui lisant une histoire pendant qu’il regarde les images.
Voilà pour la partie narration, car le petit plus ici : est que les images et les mots ne restent pas fixent sur le papier mais bougent, changent, prennent vie dans ce petit « écran » que tout le monde regarde avec des yeux d’enfant. En effet, Patrick Corillon illustre ce conte enfantin par des mots et des images avec lesquels il joue. C’est comme cela que « le fils » se transforme pour devenir « filles », ou encore que les oiseaux ne sont pas dessinés mais représentés pas un « Cui Cui »,…Tous ces jeux apportent une petite touche humoristique à la pièce.
Cet univers magique d’enfant est renforcé par l’alternance entre la voix et les images. L’ambiance de ce conte, où les lettres jouent avec les mots, et les mots avec les phrases et les images, est magique. La pièce est vivante, on l’entend presque respirer. Mais comme tout bon tour de magie il y a un « truc ». Le mystère est vite levé car en fin de représentation, Patrick Corillon nous invite à passer dans les coulisses pour partager avec nous tous ses secrets et astuces qui nous ont fait vibrer tout le long du spectacle.
En conclusion, cette histoire mise en scène et réalisée par Patrick Corillon est originale, enfantine et magique pour tous ceux qui ont encore au fond d’eux leur âme d’enfant, ce spectacle permet de la retrouver pendant une heure tout en s’amusant et en s’émerveillant à travers cette forêt de mots.
samedi 24 avril 2010
« Avalanche » Tuncer Cucenoglu - Couvrez-vous et envolez-vous ! - C. Goffart

Tout d’abord, les passages sans dialogues à répétitions accentuent l’effet de lenteur. La pièce a beaucoup de mal à démarrer. Elle traîne en longueur car rien ne s’y passe les premières minutes. Lorsque la salle se remplit, avant le spectacle, les acteurs sont déjà sur la scène en train de dormir. Cette action se prolonge encore pendant de longues minutes. Les personnages vont se lever successivement pour aller aux toilettes. Il n’y a aucun dialogue. Alors, forcément, c’est long pour le spectateur qui se demande ce qu’il se passe.
Ensuite, le thème plutôt original nous emporte dans des fous rires magistraux.
Est-il coutume de mixer vie ancienne et fiction lors de pièces de théâtre ? Ici, Tuncer Cucenoglu y est arrivé. Des répliques inattendues ainsi que des petites piques, tout a été soigneusement travaillé dans le but d’être hilarant. Le spectateur fait un retour en arrière et est carrément plongé dans la fiction. L’auteur de la pièce met à découvert des thèmes touchants comme l’affrontement des générations, ainsi que la révolte de ceux qui veulent mettre des couleurs dans leur vie malgré leur peur constante. Il s’identifie facilement aux personnages. Il a peur avec eux, ne sait pas quoi faire, et est bloqué dans la même situation. Il essaye de faire le moins de bruit possible afin de ne pas déclencher d’avalanche.
Enfin, la pièce est tellement réaliste qu’on se croirait au milieu d’une chaîne de montagnes. En effet, les nombreux jeux de lumière et de son sont là pour rappeler l’époque et le temps. Dès qu’un personnage sort de la maison, des bruits de pas neigeux apparaissent. Les lumières chaudes font que les spectateurs se sentent bien au chaud, alors que dehors, règne un froid de canard. La présence de fondus au noir marque les différentes heures qui passent. Tous ces détails font que les spectateurs se sentent envoûtés par l’univers pittoresque de ce petit village retiré au cœur des montagnes.
mercredi 31 mars 2010
Un mensonge de très mauvais gout!
Un mensonge de très mauvais gout !
Dramatique, l’usine Thyssenkrup de Turin a brulé ! Horrible, également, le spectacle qu’en a tiré Pipo del Bono et qu’il a intitulé la « menzogna », le mensonge en français. En effet, cette création est plus que douteuse sur de nombreux points.
Premièrement, nous avons eu le droit à une représentation affligeante de nudité. Les danseurs s’exhibaient de façons lubriques sur scène n’apportant rien à cette création. C’est sur, nous aurions eu plus de plaisir à nous trouver à un spectacle de striptease, au moins là on sait pourquoi on y va ! Il est quand même anormal d’avoir du nu pour nu et ça sous le nom de la culture.
Deuxièmement, la qualité musicale était d’un piètre niveau. Pour agrandir ce désastre sonore, les danseurs beuglaient tels des animaux en rut.
Troisièmement, pour un spectacle de danse, nous n’avons pas beaucoup vu danser ce qui est quand même le comble pour un spectacle de danse contemporaine. Sauf, quelques artistes se trémoussant de façons équivoque et gâchant les vraies minutes d’une exécution magistrale d’un tango.
Dernier éléments négatifs, la soirée a commencée avec 45 minutes de retard, des spots éclairaient violement les spectateurs. Ceux-ci étaient en plus, éblouis par des flashs agressifs d’appareil photo, surement pour certifier que des courageux assistaient à cette mascarade. Ce spectacle comportait des thèmes tous plus confus les uns que les autres ce qui a évidemment perdu pas mal de spectateur.
Pour en conclure, y avait-il un message ? Si oui, nous le cherchons toujours… Ce qui est malheureux pour un spectacle qui aurait du être le sommet de notre compréhension après deux ans de travail en Arts d’Expressions. En un mot, cette représentation était choquante, assurément provocante mais certainement pas recommandable !
Masset Benoit 6D
"La Menzogna" Pippo Delbono - La Menzogna, (le Mensonge) démasqué ! - S. Klutz


Dans la première scène, qui dit tout en quelques minutes, Pipo nous plonge dans un vestiaire sinistre où des ouvriers défilent lentement au début, de manière réaliste, avant d'être emportés, à mi-spectacle, dans une danse énergique et dénudée, sur des rythmes trépidants de Stravinsky. Entre-temps deux vidéos nous délivrent le message social de base: un curé progressiste fait la critique radicale du capitalisme financier alors qu'une pub « mensongère » (signification du titre) du groupe Thyssen-Krupp achève de nous écœurer.
On assiste à un théâtre traversé par les fantômes de Kantor, Pina Bausch, Pasolini, constitué principalement d’images, de tableaux où les corps parlent plus que les mots. Un théâtre où l’on se sent irrésistiblement libre. Libre d’être subjugué par la beauté plastique du spectacle, de se laisser entrainer par les émotions changeantes qu’il procure, de rêver sur la bande son musicale enveloppante, de penser au monde dans lequel on vit. De faire des allers-retours entre la scène et la vie. Un véritable cadeau.
Sophie Klutz
mercredi 3 mars 2010
"Le Dieu du carnage" Yasmina Reza - Le Dieu du carnage conjugal - S. Klutz

La pièce ne révolutionne pas les consciences, s’étirant sur 1h30 une idée simple et vraie se tisse : sous chacun des deux couples hypercivilisé sommeille un sauvage qui s’ignore.
« Ferdinand a cassé deux dents "armé d’un bâton" à Bruno ». On démarre sur cette phrase, pas "armé", "muni", dit le père de Ferdinand, il s’agit donc d’une réunion de conciliation des deux ménages pour tenter de trouver une solution amiable avant la valse des avocats et des assurances.
Des alliances de circonstance se font et se défont entre les deux couples. Des dissensions apparaissent au sein des couples. Entre la bienséance et l'envie d'en découdre, qui l'emportera ? Le moindre écart de langage, car c'est évidemment de cela, et rien que de cela qu'il est question, sera fatal.
La pièce possède une caractéristique : elle est aérée de silences pour faire vrai comme dans la vie, on ne se connaît pas, il y a des blancs dans la conversation, sauf qu’ici, ces blancs, on les traîne du lever de rideau au salut final des acteurs, des petits silences tellement fréquents et réguliers qu’on finit par les attendre… Sans entracte, la pièce démarrant à 20h45, à 22h20, on est dans la rue. On ne s’ennuie pas, on passe un moment sans ennui, à rire, à observer les deux couples se chamailler, pleurer, picoler, plus pour deux dents et un bâton mais pour des problèmes au sein même du couple.
Yasmina Reza nous révèle l'oeuvre du dieu du carnage: celui qui maîtrise nos instincts les plus viles. La violence qui sommeille en nous est toujours prête à faire irruption, et il n'en faut pas beaucoup pour la réveiller! Ainsi, chacun perd peu à peu le contrôle, le sens des limites sociales, s'excite, s'énerve. On a l'impression de voir enfin son vrai visage, mais - changement de plan - on se retrouve projeté encore plus loin, dans une autre direction... Ce ping pong dramatique que Yasmina Reza nous propose est révélateur et réaliste : grâce à son humour décalant et à son thème familier. On ne peut qu’aimer ! Le spectateur, devient un Dieu conquis.
jeudi 28 janvier 2010
On aime:"to the ones I love"
On aime : « to the ones I love » !
Ouf, enfin un spectacle de danse contemporaine que j’ai aimé et c’est arrivé avant la fin de l’année… « To the ones I love » est un spectacle de danse pur où on peut simplement admirer la performance réalisée par les danseurs. Ceux-ci dansent avec une légèreté inimaginable sur des musiques de Jean-Sébastien Bach.
Ce spectacle est agréable car les musiques de Bach sont toutes remplies d’une joie frivole et cela illumine la soirée. Il est très rare pour les jeunes d’aujourd’hui d’écouter de la musique classique et « to the ones I love » arrive à marier modernité et musique classique. La musique de Bach installe un effet V car le spectateur se demande pourquoi elle est utilisée pour une représentation de danse du 21e siècle !
Un bon point est accordé à ce spectacle pour les lumières. Les jeux de lumières arrivent à transporter le spectateur et à lui faire partager les ambiances. Les couleurs sont indispensables à « to the ones I love » car le spectacle est construit selon des tableaux de couleurs. Les « performers » changent de costumes avec les changements de lumières ce qui donne une dynamique très intéressante.
Durant les représentations, le spectateur assiste à un spectacle interprété uniquement par des personnes de couleur. Cette idée de mettre en valeur des minorités est intelligente car dans notre Liège natale, trop de ségrégation séparent encore trop la population. « To the ones love » permet de faire un trait d’union entre l’Europe avec les musiques de Bach et l’Afrique avec ces danseurs.
Un défaut que l’on peut imputer à ce spectacle est de tout miser sur l’esthétique. Vous allez dire qu’il n’y a rien de mal à avoir des décors soignés, des lumières somptueuses mais avec ce spectacle le vice de la beauté va même jusqu’aux danseurs. Le metteur en scène a d’ailleurs reconnu qu’il n’avait « caster » que des males noirs au corps athlétiques. Cette optique de la beauté absolue amène quelques effets secondaires tels que pour de nombreuses de femmes présentes, elles pouvaient se croire à un spectacle de chippendales ! Une dernière petite remarque peut être faite sur la qualité artistique de certains danseurs qui certes ont un physique avantageux mais qui ferait bien de parfaire leurs techniques. Et oui, on se fait toujours rattraper dans la vie…
En conclusion, il est indéniable que « to the ones I love » est un très bon spectacle, accessible à un large public. Mais attention, mesdames allez plus loin que la beauté exposée… Le spectacle permet de lier deux continents, abat des préjugés et c’est pour cela qu’il faut aller voir « to the ones I love » !
MASSET Benoit 6D
mercredi 27 janvier 2010
"To the ones I love" Thierry Smits - Black is Bach? - C.Delmotte

Le chorégraphe évite toute dramaturgie théâtrale, pour se concentrer sur le potentiel plastique et architectural des mouvements corporels en renouant avec son envie de créer une danse à l’état pur. Les corps d’ébène façonnés par la danse contemporaine, n’ont ni oublié ni désappris les gestes ancestraux de leur pays d’origine.
jeudi 21 janvier 2010
Un beau lendemain
Un beau lendemain…
« Si demain vous déplaît » est le nouveau bijou du créateur et metteur en scène Armel Roussel. La pièce place au centre un adolescent en plein questionnement. Qu’est-ce que le bonheur ? La vie, l’amour, la mort ? Qu’est ce que le capitalisme ? Cette pièce révèle un théâtre jeune et revigorant qui chasse la morosité et ne laisse personne indifférent !
La pièce est construite en deux parties complètement différentes, comme les deux hémisphères cérébraux… Le spectacle nous procure une explosion de sens, dans un feu d’artifices mouvementé et décoiffant où les joutes orales se suivent et sont toutes plus pétillantes les unes que les autres. Le rire est assuré avec ce théâtre décalé et décapant.
Nous sommes face à une brochette de jeunes comédiens complètements survoltés et à l’énergie contagieuse. Nous sommes emmenés dans cette folie collective ou gravite une foule de personnages mêlant tendresse et utopie. La musique est acteur à part entière dans la deuxième partie grâce à la présence ingénieuse d’un DJ. Nous pourrons ajouter que la nudité est loin d’être un tabou !
Si demain vous déplaît est un pur concentré de théâtre libérateur d’émotions et de questionnements ! Nous ne pouvons qu’insister sur la coupure entre les deux parties de la pièce. La première est contemporaine car les règles y sont cassées mais elle donne un ressenti plus traditionnel. Nous sommes amenés à nous poser des questions tout comme le jeune acteur, mais ce sont les réponses amenées par les autres comédiens qui restent les plus intrigantes. La deuxième partie quant à elle, peut être comparée à la tête d’un adolescent où règne la folie des questions…
Pour certains, cette pièce tourne à la farce et à l’hystérie mais il est bon de perdre son sérieux de temps en temps et de nous laisser aller dans le délire voire la folie. D’autres regretteront le manque de lien entre les deux parties qui composent cette pièce mais le théâtre dit « d’auteur » ne sert-il pas à amener une réflexion du spectateur ? Et pour cela : « si demain vous déplaît » remplit complètement ses conditions.
En conclusion, « Si demain vous déplaît » est une pièce d’un genre nouveau où les règles sont brisées pour donner naissance à une représentation sublime et complètement déjantée. En un mot, un spectacle jeune et plein d’extravagance, pour le bonheur de tous !
MASSET Benoit 6d